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 On dirait que tu viens de voir un fantôme

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4 participants
AuteurMessage
Django J. Cardenas

Django J. Cardenas


Emploi/loisirs : Etudiant en Chimie
Localisation : Quelque part sur Terre
Messages : 4
Votre age : 29

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Branche: Chimie
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MessageSujet: On dirait que tu viens de voir un fantôme   On dirait que tu viens de voir un fantôme EmptyJeu 8 Sep - 21:38



 

 
 

 
" Cardenas Django "

 
Pourquoi me haïr si je suis ce que vous avez fait de moi ?

 
Informations de bases • Je me nomme Cardenas Django et j'ai 22 ans. Je suis un étudiant et j'ai choisi le Chimie. Je suis un Hétérosexuel et mes principales qualités et défauts sont réfléchis, calme, attentif, tacticien, charismatique, mais peut se montrer manipulateur, sournois, rancunier, fauteur de troubles, violent, et surtout, mauvais.

  Et derrière l'écran • Tu peux m’appeler comme tu veux. J'ai entre 9 et 200 ans et j'écris depuis 3 ans. J'aime les chocolatines et je déteste le chou rouge. J'ai trouvé le forum sur bing et je trouve que je devrais trouver une suggestion pertinente.
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  Caractère • En 10 lignes minimum
 
Que suis-je donc ? Tout d’abord, je suis calme. Je veille, j’observe. Je réfléchis, je constate, je suis attentif, je note tous les détails. Je sais manipuler, je sais établir des tactiques, des raisonnements, mener des protocoles complexes, mais aussi manipuler le mental de ceux qui m’entourent. Je sais me donner en spectacle, faire de beau discours pour qu’on me croit. Je sais cacher ce que je suis. Je suis l’un des plus grands hypocrites que l’on pourrait trouver. Mais ce n’est pas toujours le cas. Comme tous, je peux être mis à bout. Je peux devenir violent, jouer les fauteurs de troubles, tourmenter mon prochain, être fourbe, sournois, mauvais, et tout ça pourquoi ? Pour me venger. Ne me poussez pas à bout, ne me donnez pas un prétexte, ou je saurais devenir votre pire cauchemar. Dans une conversation, je suis ou le meilleur interlocuteur possible, ou le pire. J’aime argumenter, développer, j’aime les longues discussions. J’aime échanger des idées, des pensées, des visions, mais j’aime aussi les combats oraux. Quand on cherche à déstabiliser l’adversaire, quand on vise les failles dans son argumentaire, dans son mental, quand on frappe où ça fait mal. Et surtout, j’ai la fâcheuse tendance de remuer le couteau dans la plaie. Mais en bon manipulateur, je saurais devenir l’épaule que l’on cherche, réconforter, ou du moins, faire croire à du réconfort.

Je ne m’attache pas facilement. Je suis souvent méfiant, et j’ai du mal à éprouver de l’affection. Mais si cela doit arriver à nouveau, je saurais être quelqu’un de bien pour ceux que j’aime, mais plus que ça, je saurais être un diable pour ceux qui leur font du mal. Blesser ceux auxquels je tiens c’est me blesser moi, et ce ne sera pas impuni. Regardez où vous mettez les pieds et avancez dos au mur, je frappe souvent par derrière. J’ai beau relativiser, avec les années, je ne fais que nourrir ma haine. Je pense que jamais je ne pourrais voir un humain comme un frère ou une sœur, j’ai du mal, même avec ma mère adoptive. Peuvent-ils vraiment être bons ? J’attends toujours la preuve, car pour moi, ils ne sont qu’une gangrène sur ce monde.

Je suis féru de musique, de rock mais surtout de métal. C’est comme une violence auditive qui m’aide à me défouler, j’adore ça, je ne m’en passe pas. Au-delà d’en écouter, j’essaye même de faire la mienne, j’ai toujours ma guitare électrique sur moi, et une basse qui traîne dans ma chambre. Sais-t-on jamais, on peut toujours avoir besoin de musique. Je porte toujours l’os de ce terrible jour. Celui que j’ai récupéré du musée. Je ne sais pourquoi, mais il m’avait été confisqué comme effet personnel ce jour-là, et on me le rendit lorsqu’on me libéra. Il ne faut jamais oublier ou renier le passé, aussi douloureux soit-il. C’est pourquoi je porte toujours l’os sur moi, dans le même sac que ma guitare. Je l’ai toujours avec moi, avec mon gros sac. Gros pourquoi ? Je n’emmène pas beaucoup de matériel pour les cours, un ordinateur parfois, mais j’ai surtout un ampli assez petit pour rentrer dans le sac, assez léger pour ne pas me casser le dos. Je ne me sépare jamais de mon os, ma guitare et mon ampli, chacun à sa façon a une grande valeur affective pour moi.


  Histoire • En 15 lignes minimum
 
Mon histoire, bien, mais, où commencer ? Ma famille ? Inconnue. Mes parents ? Inconnus, enfin, je sais au moins ce qu’ils étaient. Ma mère, c’était une prostituée, dans les rues de Sidney. Mon père était un de ses clients. Ma mère pensait d’abord pouvoir avoir un enfant, c’est pourquoi elle m’a gardé, mais très vite, je luis fus retiré, l’Etat ne la jugeait pas capable d’avoir de la marmaille. Je fus ensuite placé en orphelinat. Mais attention, un truc bien miteux où on met les pauvres, les furrys, et les pauvres furrys. Je n’y restai pas très longtemps finalement, car je fus adopté par un couple. Un furry, un orque, et sa femme, une humaine. L’homme était un ingénieur, qui travaillait pour l’armée comme civil, quand à la femme, c’était une institutrice. Ils savaient déjà une fille. Elle avait trois ans de plus que moi. Nous grandîmes ensemble, sans réels soucis, j’avais la chance de ne pas me faire rejeter en tant qu’enfant adopté.

On plaça d’abord ma « grande sœur » en école privée, dès qu’elle en eu l’âge. Tout se passait bien apparemment, la gamine disait s’amuser, s’être fait des amis, et les professeurs félicitaient son sérieux en cours, si on peut dire ça d’une enfant si jeune. Quand je rejoignais son école, elle était déjà passée dans l’établissement supérieur, car, en plus d’avoir trois ans d’avance sur moi, elle avait sauté une classe. De mon côté, je ne peux pas dire que tout se passait si bien. Je n’étais pas mauvais, ni bon en fait, j’étais un gosse lambda sur le plan scolaire, mais surtout, j’étais différent. Au milieu du troupeau d’humains, le furry que je suis se remarquait, mais je faisais avec, je me sociabilisais tant bien que mal, quitte à faire le pitre pour ça, enfin, à cet âge-là, je me disais surtout que je n’avais qu’à faire le clown pour me faire des amis.

Les années qui suivirent se passèrent de même loin de ma sœur. Elle avait pu, grâce à ses résultats, aller dans un établissement plus prestigieux que moi. Les pitres comme moi devaient se contenter de ce qui venait. En classe, je faisais mois l’imbécile, en tout cas, je me concentrais dans les matières qui me tenaient le plus à cœur, une préférence pour les scientifiques, qui me permit de maintenir un niveau acceptable mais sans plus, le reste étant à la ramasse. Ce qui me sauta aux yeux fut finalement la vitesse à laquelle j’étais passé du clown qu’on trouvait rigolo à la bête de foire. On me pointait du doigt, on se moquait de moi, ce qui me valut quelques bagarres, dont je sortais tantôt vainqueur, tantôt perdant. Ces affaires furent portées à mes parents, et bien sûr, face à la parole des humains, j’étais ce sale furry enragé qui initiait les bagarres, alors qu’au fond, j’étais aussi coupable qu’eux. Au début, mes parents m’engueulaient, me punissaient, mais plus cela avançaient, plus ils s’y habituaient, et finirent par laisser couler. Ils ne savaient pas qui croire, ils ne me faisaient pas confiance. Dans l’affaire, ce fut ma sœur qui m’aida le plus. Elle traversait la même chose, mais elle, elle ne se levait pas face à ses tourmenteurs, elle se soumettait. Je n’étais pas d’accord avec cela, mais je ne pouvais pas l’aider, et les quelques fois où je voulais en parler aux parents, elle affirma que je mentais. Je me résolus donc à la laisser à ses détraqueurs, tant pis pour elle.

Quand j’arrivais au lycée, ou du moins dans un établissement qui s’apparentait à un lycée/ fin de collège, j’entrais en équivalent de troisième, j’avais alors 14 ans. Ma sœur, elle, était en équivalent de terminale, elle avait alors 17 ans. Rien de plus que mes années précédentes, sinon que ce coup-ci, je pus voir qui s’en prenait à elle. C’est à ce moment que je décidai donc d’élargir ma liste d’ennemis en me frittant à quelques-uns d’entre eux, mais ce coup-ci, je n’étais pas de taille, trop petit… Je ressortis de la bagarre plutôt amoché, ce qui se voit notamment au niveau de ma hanche droite et de ma jambe gauche, déformées à vie, mais bon, je ne voulais pas être un grand sportif alors tant pis. Mes années de cours se passèrent ensuite plutôt normalement, rien de bien folichon, si ce n’est que je dus redoubler mon équivalent de seconde.

J’eus finalement mon Bac, mais tout juste, sans mention. J’étais bon en science, et très bon en chimie, mais le reste était largué, et m’avait bien coulé la matière. Ajouté à cela les jolies remarque sur le furry enragé bagarreur. Je me souviens le jour où je l’ai eu, pas de cris de joie, mais juste un grand soulagement. Ce jour-là, ma sœur m’avait promis de m’emmener dans un grand restaurant si je réussissais, pour fêter ça, mais je l’attendais et elle n’arrivait pas. Nous n’habitions pas loin, alors elle était supposée venir à pieds. Curieux de connaître le motif de son retard, je me mis en route pour venir à sa rencontre. Ce jour-là, je l’aperçu dans la petite ruelle à côté du musée d’histoire naturelle, près des bennes à ordure, où trainaient quelques os factices qui servaient à compléter les squelettes, visiblement plus utiles à quoi que ce soit pour le musée. Elle était avec trois hommes, trois jeunes qui devaient avoir son âge à vue d’œil. Mais ce n’était surement pas des amis, sinon deux d’entre eux ne seraient pas en train de l’immobiliser en la bâillonnant tandis que le troisième semblait… prendre du bon temps à son insu. Mon sang ne fit qu’un tour, je m’approchais d’eux en leur hurlant de la laisser, mais au lieu de ça, l’un d’eux vint à ma rencontre, près des bennes, jouant les airs intimidants pour me faire fuir… Nous étions tous les deux à côté de la benne d’os. Ils me dégoûtaient, et je n’avais aucune envie de me retenir… Dès qu’il fut assez près, je saisis le plus gros d’entre les os et lui assénai un coup au crâne de toute mes forces. Le type était à terre, se tenant la tête en gémissant. Il faisait pitié. Du sang coulait de son front sur ses mains. Face à cela, son autre ami se mis en tête de venir à son secours, tandis que son pote finissait son affaire. Je mis un violent coup de pied dans le ventre de celui qui était à terre, et lui colla un autre coup dans le dos avant de m’approcher de son compère. Il sortit un couteau. Pauvre fou, tu n’as aucune allonge avec ça, tu essayes de me blesser, mais moi, avec mon os, j’ai déjà atteint ton flanc. Il se plia sous la douleur, je lui mis un autre coup dans la jambe, et un autre, et un autre, jusqu’à avoir la certitude que c’était brisé, et en miettes. Le dernier remettait son pantalon en vitesse, sautillant et faisant tomber ma grande sœur à terre, encore sous le choc, elle se blottit dans un coin en position fœtale. Oh non, tu n’iras nulle part. Une fois en train de courir, il allait plus vite que moi, mais je m’étais assez approché avant. On déboulait dans l’avenue alors que l’os que j’avais lancé le frappa au visage. Il ralentit sous la douleur, et je le jetai à terre. Je le rouai de coup jusqu’à ce que les passants autour m’empêchent de faire plus.

Des policiers finirent par arriver. On m’emmena, on emmena ma sœur et les trois « victimes ». On m’enferma en prison, le temps que l’affaire se résolvait. On me mit en isolement, pas uniquement à cause de ma violence, mais aussi parce qu’après tout, on n’allait pas forcer les pauvres prisonniers à subir mon infecte présence en tant que furry. Ce n’était pas plus mal, j’étais au calme au moins. Je n’appris pas grand-chose du procès. Je sus que les trois types, s’en sortirent vivant. L’un d’eux perdit sa jambe, mais les autres étaient finalement entièrement rétablis physiquement parlant après 1 à 2 ans. Le viol de ma sœur fut prouvé, et ils finirent en prison eux aussi. Moi, j’y fus mis pour 4 ans pour avoir réagis avec excès de violence. J’aurais surement du avoir plus, mais grâce aux contacts de mon père, et à un avocat bon défenseur de notre cause face à la discrimination humaine, on a pu limiter ma peine à 4 ans. Ma sœur quant à elle, je ne sus comment elle avait vécu tout ça. Lorsque je la revis, j’avais l’impression de parler à une étrangère, elle comme mes parents adoptifs, ils me voyaient comme un étranger. Je pouvais comprendre cela.

A ma sortie de prison, deux choses furent claires. Je ne pouvais pas rester à Sidney, et je devais me montrer irréprochable sans quoi ce serait fini pour le soutien familial. On me promit de me payer l’internat, et quelques petites choses à côté selon mes résultats, mais j’allais devoir me montrer plus raisonnable. Au moins, partant du fond, je me disais que ce sera difficile pour moi de ne pas être « plus raisonnable ». On m’inscrit donc dans une université spécialisée dans les furrys, en espérant que là-bas, tout se passera mieux.


  © Halloween
 

 


Dernière édition par Cirice S. Wallace le Sam 10 Sep - 17:54, édité 3 fois
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Gregory Dunhamm

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MessageSujet: Re: On dirait que tu viens de voir un fantôme   On dirait que tu viens de voir un fantôme EmptyVen 9 Sep - 8:40

*prostré dans son coin, a faire des cercles sur le sol du bout du doigt après avoir lu le premier paragraphe du mental *

Quel est le sens de la vie? Pourquoi? Comment? Qui? POurquoi je suis là? PAPA? MAMAN? Elle est ou ma tétine?
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Django J. Cardenas

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MessageSujet: Re: On dirait que tu viens de voir un fantôme   On dirait que tu viens de voir un fantôme EmptySam 10 Sep - 17:54

Petit Up pour dire que j'ai édité ce que je voulais éditer, j'attends votre saint jugement !
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Arcley Jacobson

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MessageSujet: Re: On dirait que tu viens de voir un fantôme   On dirait que tu viens de voir un fantôme EmptySam 10 Sep - 18:21

rebienvenue ! j'adore le masque il est vraiment classe l'avatar Smile

*jalous*
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MessageSujet: Re: On dirait que tu viens de voir un fantôme   On dirait que tu viens de voir un fantôme EmptySam 10 Sep - 23:16

Re-bienvenue
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MessageSujet: Re: On dirait que tu viens de voir un fantôme   On dirait que tu viens de voir un fantôme Empty

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